Éducation, science et technologie à l’Organisation des Nations Unies
Le 16 mai, a eu lieu dans la célèbre Chambre de l’ECOSOC, au siège de l'ONU à New York, États-Unis, un forum de la société civile et du Conseil économique et social des Nations Unies sur le thème « Construire des partenariats dans le domaine de l'éducation à travers la science, la technologie et l'innovation ». Le débat a été organisé par un comité formé par la Légion de la Bonne Volonté, l’Association mondiale des anciens stagiaires et boursiers de l'Organisation des Nations Unies (WAFUNIF) et Global Millenium Development Foundation (GMDF), en soutien à la Section des ONG du Département des affaires économiques et sociales de l’ONU.
La cérémonie solennelle d'ouverture a été suivie par le président de l'ECOSOC, M. Nestor Osorio. La LBV a aussi présenté un exposé intitulé « Promouvoir le développement et l'inclusion sociale par l'éducation et la technologie. »
Des conférenciers des universités de différents pays et des spécialistes de l'utilisation des technologies de l'information et de la communication, appliquées aux méthodes d'enseignement les plus modernes, ont également participé au forum.
UN BRÉSILIEN VA DIRIGER l'OMC
Le choix du diplomate Roberto Carvalho de Azevêdo, né à Salvador, Bahia, pour le poste de directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), à partir du mois de septembre de cette année jusqu'en 2017 est une consécration pour le Brésil. L'annonce officielle en a été faite le mardi 14 mai, lors d'une réunion du Conseil général de l'OMC. Depuis sa création en 1995, ce sera la première fois qu’un Latino-américain présidera l’organisme.Nous félicitons également son épouse, l'ambassadrice Maria Nazareth Farani Azevêdo, chef de la Mission permanente du Brésil auprès de l'Organisation des Nations Unies et des autres organisations internationales à Genève, en Suisse. En 2011, elle nous a fait l’honneur de sa participation au panel thématique organisé par la LBV, lors de la Réunion de haut niveau de l'ECOSOC, à Genève.
LA CAMPAGNE CŒUR BLEU
Il y a des années que je souligne dans des articles et des livres que la traite des êtres humains est abominable et doit être fermement combattue. C'est une grande source de préoccupation des mères vis-à-vis de la sécurité de leurs enfants. L'adhésion de notre pays à la campagne « Cœur Bleu — contre la traite des êtres humains » que l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC) a lancée le 9 mai, au ministère de la Justice à Brasília/DF, est par conséquent tout à fait opportune.
La Légion de la Bonne Volonté — un cœur bleu qui depuis plus de six décennies bat pour la Solidarité dans le monde — soutient cette action ; elle vous invite à participer à cette chaîne du Bien et à partager cette initiative. Dans le livre « Il est urgent de rééduquer !», j'ai fait le commentaire suivant au sujet des statistiques de 2000, déjà alarmantes à cette époque : La Fraternité est donc une mesure urgente à prendre face au darwinisme social, amplifié par une mondialisation dépourvue de caractères solidaires : la survie, crue et nue, du plus fort — une déviation causée par une lecture sociologique erronée de la théorie scientifique de l'évolution du célèbre naturaliste anglais Charles Darwin (1809-1882), qui est toujours discuté de nos jours.
(Or l'être humain ne peut être réduit à des élans effrénés d'un animal irrationnel et donc classé selon des impulsions qui le conduisent à des aberrations. La traite des filles, des garçons et des femmes, selon le dossier distribué en plusieurs langues par l’Agenzia Fides, du Vatican, « Les nouveaux esclavages du 21e siècle — le terrible drame de milliers de femmes traitées comme des “marchandises” dans un commerce très lucratif », en est un exemple tragique. En raison de son importance et de son étendue, l'étude a été publiée en plusieurs parties, en août 2004. Nous rapportons ici un petit échantillon de la gravité du problème :
Cité du Vatican (Agence Fides) — « (...) Dans les deux dernières décennies, la prostitution et la traite des personnes aux fins d'exploitation sexuelle ont atteint des proportions alarmantes partout dans le monde. Certaines données nous donnent une idée de la gravité du problème. (...) L'Organisation des Nations Unies, dans son rapport de septembre 2000, estime à 4 millions le nombre de femmes qui sont vendues chaque année, avec l'une de ces fins : la prostitution, l'esclavage ou le mariage, et à 2 millions le nombre de filles entre 5 et 15 ans qui sont insérées dans le commerce du sexe ».)
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