Agenda mondial post-2015
Le vendredi (11/7) a pris fin le Débat de haut niveau (High-Level Segment) promu par le Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) au Siège de l’ONU à New York.
La réunion a été marquée par la discussion sur les défis en cours et émergents pour atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) en 2015 et pour maintenir les avancées obtenues pour l’avenir. Dans sa déclaration, l’ambassadeur Martin Sajdik, président de l’ECOSOC, a souligné : « Nous nous préparons pour la dernière ligne droite des objectifs du Millénaire pour le développement ».
Dans une édition spéciale de la revue « Bonne Volonté — Développement durable/2014 », en portugais, anglais, français et espagnol, partagée avec toutes les autorités participantes, je déclare qu’à travers les âges l’étude du Droit a été perfectionnée afin de donner des garanties de plus en plus solides à la société. Le 20e siècle, par exemple, nous a légué un énorme apprentissage grâce aux conquêtes civiles successives face aux difficultés majeures auxquelles étaient confrontées les populations.
Devant les innombrables épisodes recueillis au fil du temps, nous pouvons conclure que l’être humain a besoin du pain de la liberté. Mais il n’y a pas de véritable liberté si elle n’est éclairée par un sentiment fraternel et solidaire. S’il en est autrement, on court le risque du chaos, et l’Histoire regorge d’exemples qui montrent cette réalité. Rendons donc hommage à tous les activistes qui, au cours de l’Histoire, ont aspiré à la liberté et à des conditions de vie dignes, tout particulièrement aux femmes qui luttent. Elles consacrent chaque jour de leur existence à soutenir leurs enfants, qu’ils soient biologiques, adoptifs ou, comme j’ai l’habitude de le dire, que leurs enfants prennent la forme de grandes réalisations pour le bien de l’Humanité. Toutes les femmes sont mères.
L’une de ces femmes brillantes était le Dr Zilda Arns (1934-2010) médecin pédiatre, spécialiste brésilienne en Santé Publique et fondatrice de la Pastorale de l’Enfance, qui a dit : « Le travail social a besoin de mobilisation des forces. Chacun collabore avec ce qu’il sait faire ou ce qu’il peut offrir. Ainsi, se renforce le tissu qui soutient l’action et chacun sent qu’il est une cellule de transformation du pays ».
Exactement ! C’est pourquoi j’ai toujours défendu, même à l’ONU, la conciliation universelle de toutes les connaissances humaines et spirituelles dans une force puissante au service des peuples.
La Légion de la Bonne Volonté (LBV), qui a un statut consultatif général auprès de l’ECOSOC, a apporté ses recommandations sur les bonnes pratiques socio-éducatives à ce High-Level Segment, dont le but était de contribuer à créer un nouvel agenda mondial pour l’après 2015. Au cours des débats qui se sont tenus le lundi 7 Juillet, la LBV a été invitée à faire sa déclaration officielle aux autorités internationales présentes, avec diffusion en direct par la radio et la télévision de l’ONU dans le monde entier.
Outre l’exposé sur son expérience de travail au Brésil depuis 1950, la LBV a présenté les résultats des événements organisés en 2013 avec les différents secteurs de la société latino-américaine, en Uruguay, en Argentine, au Paraguay et en Bolivie.
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